Nena, une soumise passionnée…

J’ai rencontré Nena alors que j’étais avec Anita. À cette époque, Anita devait souvent s’absenter pour le travail et étant donné que nous étions dans une relation ouverte… Encore une fois, c’est grâce à Contact International que je l’ai rencontrée.

Nena était une femme dans la trentaine, d’origine espagnole, travaillant en tant qu’informaticienne dans une grande banque. Elle ressemblait à Agnès, même taille, même corpulence, et d’après les quelques lettres que nous nous étions échangées, elle aimait également ressentir la douleur.

À l’époque, j’habitais avec Anita près du Bois de la Cambre à Bruxelles.

Pour notre première rencontre, je lui ai demandé de venir précisément à 21h00 dans le bois, et de s’asseoir sur le banc face au Chalet Robinson. C’était en novembre et la nuit était déjà tombée depuis longtemps. À l’heure indiquée, elle est arrivée et s’est assise sur le banc. Je l’ai laissée là pendant quelques minutes, la faisant douter, pendant que je me cachais derrière un arbre à quelques pas de là. Voyant qu’elle commençait à s’impatienter, je me suis approché lentement par derrière. Je lui ai chuchoté de ne pas se retourner. Surprise, elle s’est figée, son regard restant fixé droit devant elle. J’ai posé mes mains sur ses épaules. Je pouvais sentir qu’elle tremblait… de froid… de peur ? J’ai ensuite laissé mes mains glisser sous son chemisier. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins généreux étaient complètement exposés. Alors que je commençais à taquiner ses tétons, un homme promenant son chien est passé devant elle. Je pensais qu’elle réagirait… mais non, rien de tel, elle continuait de fixer son regard droit devant elle et l’homme n’a même pas détourné le sien. Lorsque je lui ai demandé si elle portait une culotte, elle a répondu affirmativement. Je lui ai ordonné de l’enlever. Gênée et maladroitement, elle la fit glisser le long de ses jambes. J’ai ensuite ordonné qu’elle ouvre complètement son chemisier, soulève sa jupe et, d’une main, caresse ses seins et de l’autre se masturbe. Après une légère hésitation, elle a fait ce que je lui ordonnais. Sa peur était réelle, tout comme son excitation. Au bout de quelques minutes, je lui ai dit de se lever et de suivre le chemin que je lui indiquais, menant à la voiture. Je restais derrière elle, elle n’avait pas encore vu mon visage.

Une fois arrivés à la voiture, j’ai sorti un foulard de ma poche et lui ai bandé les yeux, puis je l’ai aidée à monter dans la voiture. Alors que nous roulions, j’ai glissé ma main sur sa chatte brûlante qui était trempée.

L’appartement dans lequel Anita et moi vivions se trouvait dans une propriété discrète, ce qui me permettait de l’y emmener sans que quiconque s’en rende compte, toujours les yeux bandés. La séance à laquelle je l’ai soumise l’a transportée au septième ciel à plusieurs reprises. Ce n’est qu’à la fin, marquée, souillée et épuisée, qu’elle a découvert mon visage. Ravie du moment qu’elle venait de vivre, elle a demandé si nous pouvions nous revoir rapidement.

Nous avons partagé plusieurs séances.

Malheureusement, une fois de plus, sa situation familiale a perturbé notre relation. Nous avons alors convenu d’une dernière séance lors de laquelle j’ai demandé à un ami de venir prendre des photos. Ensemble, nous nous sommes rendus dans un hôtel près de la Gare Léopold qui disposait d’une chambre spéciale, et nous avons immortalisé ce dernier moment ensemble.