Sylvie, une bourgeoise en quête de sensations

C’est en compagnie d’Agnès que j’ai fait la connaissance de Sylvie et de son Maître.

Ils avaient également publié une annonce dans Contact International. C’était un couple illégitime à la recherche d’un autre couple Maître/soumise. Nous avons participé à deux sessions avec eux. La première était assez agréable, la seconde un peu moins… probablement parce que ma relation avec Agnès touchait à sa fin, tout comme la relation de Sylvie avec son Maître semblait également avoir vécu.

Sylvie était une femme plantureuse dans la quarantaine, très élégante.

À la fin de la seconde session, elle m’a glissé un petit papier dans la main, sur lequel se trouvait son numéro de téléphone et les heures auxquelles je pouvais la contacter. Je l’ai contactée le lendemain et elle m’a proposé de venir chez elle quelques jours plus tard, pendant que son mari serait en déplacement.

Le jour venu, je me suis donc rendu chez elle. Elle habitait une belle villa dans les beaux quartiers de Rhodes-Saint-Genèse.

Comme je lui avais demandé au téléphone, elle m’a accueilli nue sous un déshabillé. Elle avait préparé tous ses accessoires sur une table roulante dans la cuisine. Au milieu se trouvait une grande table en bois complètement dégagée d’objets. Sur le côté, il y avait un fauteuil et devant celui-ci, sur le sol, un coussin. Elle m’a invité à m’installer dans le fauteuil, m’a servi un café à ma demande, puis s’est mise à genoux face à moi, sur le coussin. Elle a retiré le déshabillé, dévoilant sa poitrine généreuse, puis a mis ses mains derrière la tête et baissé les yeux en attendant mes instructions. Après avoir posé ma tasse, j’ai glissé mes mains sous ses seins pour les soulever. Mes paumes ont glissé sur ses tétons, puis j’ai remonté mes mains le long de son cou pour enfin saisir fermement sa longue tignasse. J’ai relevé son visage et l’ai regardée droit dans les yeux. D’une main, j’ai continué à la tenir tandis que mon autre main descendait lentement jusqu’à son sexe, que je sentais directement humide. J’ai alors inséré deux doigts dans sa vulve et les ai ressortis trempés. Je les lui ai fait lécher tout en maintenant notre regard. Elle était en extase. Je l’ai redressée en me mettant debout, l’ai fait pivoter pour qu’elle se retrouve dos contre moi, et mes mains sont redescendues vers ses seins… et ses tétons, que j’ai commencé à pincer entre mes doigts. D’abord délicatement, en les faisant rouler, puis de plus en plus fermement jusqu’à ce qu’elle lâche un cri étouffé. Je l’ai ensuite installée sur la table, l’ai attachée avec les bras et les jambes écartés, et j’ai commencé à la fouetter sur tout son corps ainsi offert. Plus je la fouettais, plus je touchais les parties sensibles de son intimité, plus je constatais que sa chatte dégoulinait. À l’aide d’un gode, je l’ai ensuite amenée au bord de l’orgasme sans lui permettre d’y accéder. Après plus d’une heure de supplices, tant recto que verso, j’ai abusé d’elle profondément et elle a alors connu un orgasme d’une intensité que je n’avais encore jamais vu.

Nous nous sommes revus plusieurs fois chez elle, jusqu’au jour où son mari a découvert son matériel. La situation devenant délicate pour leur couple, nous avons convenu de mettre fin à cette relation.